Il est important de réclamer et exiger le retour de l’enseignement de l’histoire de Savoie dans nos écoles.
Merci de signer cette ► pétition et de la partager en l’expliquant à vos amis
Pour obtenir une version papier de la pétition afin de pouvoir la faire signer autour de vous, merci de nous demander le fichier a : unioncitoyennedesavoie@gmail.com
L’histoire de Savoie a été supprimée des cours d’histoire en 1919, quand la république française a fait brûler nos livres d’histoire dans les cours d’écoles.
Alors que les Bretons, les Corses, les Basques, les Alsaciens, etc peuvent apprendre leur histoire, nous, les Savoyards, n’avons pas le droit de connaître notre histoire et nos racines.
Nous ne sommes français que depuis 154 ans et aucun élève de Savoie et Haute Savoie ne connait l’histoire de la Savoie.
Nous avons pourtant une histoire très riche de plus de mille ans, qui ne correspond en rien avec l’histoire de France.
Il a été retrouvé des traces de l’homme de Neandertal en 1843, au pied du Salève à Etrembières, reconnus tout de suite comme la première œuvre d’art du Paléolithique. Ensuite, de nombreuses découvertes datant de l’âge de bronze et l’âge de fer prouvèrent l’existence de peuples en Savoie. Puis, arrivèrent les racines de notre histoire avec le peuple des Allobroges, et non celui de Gaule comme nous l’apprenons à l’école.
Un passage chez les Romains et enfin le premier personnage important de notre histoire, Humbert aux mains blanches, premier Comte de Savoie après qui se succédèrent d’autres comtes puis ducs et enfin roi de Savoie.
Nous avons un hymne « les Allobroges », un étendard rouge et blanc et la Savoie fit parti des gagnants à Waterloo au coté de l’Autriche.
Tout cela est notre histoire et notre devoir de mémoire est de la perpétuer et non pas de nous faire croire qu’avant 1860 nous n’existions pas.
Aujourd’hui nous demandons la réintroduction de l’histoire de notre pays, la Savoie, dans toutes les écoles, collèges et lycées de Savoie et Haute Savoie
La privation d’une population de l’enseignement et du droit à la connaissance de son passé, de ses ancêtres, de son histoire et de ses racines est totalement en contradiction avec la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.